Réponse :
La militante écologiste qui avait recouvert d’un autocollant un tableau de Monet au Musée d’Orsay a été relaxée. Le tribunal a considéré que son geste n’avait pas causé de dommages irréversibles sur l’œuvre et que son intention était de sensibiliser l’opinion publique sur la question climatique.
Jan 21